Jeûne hydrique et sève de bouleau : réussir sa cure et rééquilibrer la flore intestinale
Chaque année, je prends du temps pour une pause alimentaire et mentale. Cette année, du 6 au 13 septembre, je pratique un jeûne hydrique : pendant plusieurs jours, je ne bois que de l’eau. Pourquoi ? Parce qu’après l’été, mon corps réclame du repos. Je ressens le besoin de purifier mon organisme, de soulager mon système digestif et de laisser mes émonctoires (le foie, les reins, les intestins) accomplir leur rôle naturel d’élimination des toxines.
Au fil du temps, ce rituel est devenu une habitude profondément ancrée. Cela fait maintenant quatre ans que je renouvelle l’expérience. Chaque fois, je constate les mêmes effets positifs : un regain de vitalité, une meilleure clarté mentale, et une sensation de légèreté incomparable.
Mais jeûner ne s’improvise pas. Pour que l’expérience soit bénéfique, il faut :
- Préparer le corps avec une descente alimentaire adaptée.
- Vivre le jeûne hydrique dans de bonnes conditions.
- Reprendre en douceur grâce à la remontée alimentaire.
- Et surtout, compléter le cycle avec une cure de sève de bouleau lactofermentée, afin de rééquilibrer la flore intestinale et soutenir l’immunité.
Dans cet article, je vous partage mon expérience personnelle, mes conseils pratiques, mais aussi je vous explique pourquoi la sève de bouleau, en particulier la Probiotisève, est devenue pour moi l’alliée idéale après le jeûne.
Qu’est-ce que le jeûne hydrique ? (et en quoi cela diffère d’une cure de sève de bouleau)
Lorsque je parle de mon expérience, beaucoup de personnes me demandent : “Mais c’est quoi exactement le jeûne hydrique ?” La réponse est simple : c’est une période durant laquelle je ne consomme que de l’eau. Pas de jus, pas de bouillon, pas de tisanes sucrées, uniquement de l’eau pure, pour mettre mon système digestif totalement au repos.
Ce type de jeûne est reconnu pour stimuler des mécanismes naturels comme l’autophagie : un processus par lequel les cellules se régénèrent en éliminant les déchets métaboliques. En clair, c’est une forme de nettoyage intérieur qui aide le corps à se débarrasser des toxines accumulées et à retrouver plus de vitalité.
Il est important de distinguer le jeûne hydrique d’une cure de sève de bouleau. Dans le premier cas, je ne bois que de l’eau. Une fois le jeûne terminé, la sève apporte au contraire une richesse en minéraux, oligo-éléments, acides aminés et antioxydants. La sève de bouleau est donc un allié détox, mais elle n’entre pas dans la définition stricte du jeûne.
En pratique, voici les bénéfices que beaucoup observent, et que je ressens moi-même chaque année :
- un drainage profond grâce à la stimulation des reins et du foie,
- une meilleure digestion et la sensation d’un ventre plus léger,
- un regain de clarté mentale, comme si le brouillard disparaissait,
- une vraie pause pour l’esprit, car le jeûne ne concerne pas que le corps : c’est aussi une expérience intérieure.
La descente alimentaire : préparer le corps avant de jeûner
Un jeûne hydrique ne se lance pas du jour au lendemain. Avant de commencer, il est important de préparer son organisme. C’est ce qu’on appelle la descente alimentaire : une période où l’on réduit progressivement certains aliments pour alléger le système digestif et limiter les effets indésirables comme les maux de tête, la fatigue ou les nausées.
Comment préparer son corps au jeûne ?

Chacun peut adapter cette phase à son rythme et à ses habitudes. De manière générale, une descente alimentaire efficace consiste à :
● Éliminer peu à peu les sucres rapides, le café, l’alcool et les produits trop transformés.
● Réduire les graisses saturées et les protéines animales qui sollicitent beaucoup la digestion.
● Privilégier des repas simples à base de fruits et légumes cuits, de bouillons légers et de tisanes digestives comme le pissenlit, l’aubier de tilleul ou le fenouil.
Cette transition progressive prépare le corps à la détoxification et permet d’entrer dans le jeûne en douceur.
Mon rituel personnel
De mon côté, j’accompagne toujours cette phase d’une cure détox du foie. Cela me permet de soutenir mon organisme avant le jeûne, d’alléger la digestion et de favoriser l’élimination des toxines accumulées. Et puis, j’ai une habitude bien à moi : je prends aussi du Cyrazil, un produit que j’utilise depuis des années et qui m’aide à préparer mon organisme.
Je planifie également cette descente sur une semaine. Jour après jour, j’élimine certains aliments (sucre, café, viandes, produits laitiers…) et je privilégie les repas les plus simples possibles, jusqu’à arriver au dernier jour, où mon seul repas est un jus de légumes à midi.
Voici un tableau que j’utilise comme guide :
Descente alimentaire avant un jeûne hydrique
Aliments / Jours | J-7 | J-6 | J-5 | J-4 | J-3 | J-2 | J-1 |
Alcool – Sucre – Pain blanc – Café – Thé – Sodas | ❌ | ❌ | ❌ | ❌ | ❌ | ❌ | ❌ |
Viande – Poisson – Charcuterie | ✅ | ✅ | ❌ | ❌ | ❌ | ❌ | ❌ |
Œufs – Laitages – Fromages | ✅ | ✅ | ✅ | ❌ | ❌ | ❌ | ❌ |
Légumineuses – Céréales – Oléagineux – Fruits secs | ✅ | ✅ | ✅ | ✅ | ✅ | ❌ | ❌ |
Fruits – Légumes | ✅ | ✅ | ✅ | ✅ | ✅ | ✅ | ✅ |
Quelques conseils :
● Limitez le sel et les huiles dès J-7 et supprimez-les à partir de J-2.
● Le dernier jour de la descente alimentaire (J-1), prenez le dernier repas à midi, de préférence un jus de légumes.
La purge
Le soir du dernier jour de la descente alimentaire, j’effectue une purge. Cette pratique me permet de vider complètement les intestins avant le jeûne. Si vous le faites, vous pouvez utiliser :
● du chlorure de magnésium : très efficace, mais laisse un goût amer dans la bouche,
● du sel d’epsom : plus doux à boire et tout aussi efficace,
● de l’huile de ricin : efficace, mais à prendre plus tôt,
● du jus de pruneaux : également efficace, mais prend plus de temps.
Cette étape est essentielle pour démarrer le jeûne en toute conscience et avec légèreté.
Le jeûne hydrique : une pause pour le corps et l’esprit
Quand arrive le jour J, je coupe totalement l’alimentation solide et liquide… sauf l’eau. C’est ça, le jeûne hydrique : pendant plusieurs jours, je ne bois que de l’eau. Cela peut sembler radical, mais c’est justement cette simplicité qui permet au corps de se mettre au repos.
Vivre le jeûne au quotidien
Les premiers jours demandent toujours une période d’adaptation : le corps cherche ses repères, et il n’est pas rare de ressentir un peu de fatigue ou un léger inconfort digestif. Mais très vite, quelque chose change. Le système digestif se met en pause, et l’énergie, au lieu d’être consacrée à la digestion, peut être utilisée pour d’autres processus vitaux.
Pendant cette période, je veille à maintenir une activité physique douce : marcher en pleine nature, randonner, m’étirer. Ces exercices légers stimulent la circulation, favorisent l’élimination des toxines et limitent la perte musculaire. À cela, j’ajoute la méditation, qui m’aide à apaiser l’esprit et à transformer ce jeûne en véritable expérience intérieure.
Concrètement, que se passe-t-il dans le corps pendant ces jours de jeûne ?
Lorsque les réserves de sucre (glucose) diminuent, l’organisme change de carburant et puise dans les graisses. Le foie les transforme alors en corps cétoniques (acétoacétate, béta-hydroxybutyrate, acétone) , une source d’énergie précieuse pour les muscles et surtout pour le cerveau. Ce schéma l’explique simplement :
Les bénéfices du jeûne hydrique
C’est à ce moment que je ressens le plus les bénéfices :
- un drainage en profondeur, grâce au travail du foie et des reins,
- une sensation de légèreté digestive,
- et surtout une vraie paix intérieure : le jeûne devient une expérience autant mentale que physique.
Pourquoi je jeûne chaque année
Je renouvelle cette expérience chaque année, parce que je vois le jeûne comme une parenthèse de régénération. Après l’été, riche en excès et en sollicitations par exemple, j’offre à mon corps un temps de purification. Mais c’est aussi une façon de faire une pause mentale, de ralentir, de revenir à l’essentiel.
Un mot de prudence
Bien sûr, le jeûne hydrique n’est pas adapté à tout le monde. Certaines personnes devraient absolument demander un avis médical avant de se lancer. C’est principalement le cas pour les femmes enceintes, les personnes atteintes de diabète, de problèmes rénaux ou de fragilités de santé.
Je préfère insister sur ce point : le jeûne est une démarche personnelle, à aborder avec discernement.
La remontée alimentaire : reprendre en douceur
Si la descente alimentaire prépare au jeûne, la remontée alimentaire est tout aussi cruciale. Elle marque le moment où l’on réintroduit peu à peu les aliments après plusieurs jours d’arrêt complet. Pour moi, c’est une étape à la fois délicate et précieuse : mal la vivre peut ruiner tous les bénéfices du jeûne, alors que bien la gérer décuple les effets positifs.
Pourquoi cette étape est si importante
Après plusieurs jours à ne boire que de l’eau, le système digestif s’est mis au repos. Les enzymes, l’estomac et les intestins doivent se réhabituer progressivement au travail de digestion. Si je me précipitais sur un repas copieux, ce serait la meilleure façon de créer des troubles digestifs (ballonnements, douleurs, diarrhées) et de fatiguer mon corps.
Comment procéder à la remontée alimentaire après un jeune hydrique ?
En pratique, cette phase dure presque aussi longtemps que la descente. J’avance par étapes, en écoutant mes sensations.
- Je commence par des aliments doux et faciles à digérer : fruits frais (pommes, raisins), légumes cuits à la vapeur, un peu de bouillon.
- Ensuite, j’introduis progressivement des céréales complètes en petites quantités (riz, avoine).
- Les protéines (œufs, légumineuses, poissons maigres) viennent plus tard, seulement quand mon corps a retrouvé un bon rythme.
Chaque bouchée devient alors une redécouverte. Le goût d’une simple pomme devient une fête en bouche. Cette lente reprise me rappelle à quel point nous avons tendance à manger trop vite, trop lourd, sans conscience. La remontée alimentaire est un exercice de patience, mais c’est aussi une formidable leçon de sobriété.
La sève de bouleau après le jeûne : un allié pour la flore intestinale
Une fois la remontée alimentaire entamée, il me reste une dernière étape pour boucler la boucle : une cure de sève de bouleau lacto-fermentée. C’est elle qui, à mon sens, permet de consolider les bienfaits du jeûne et de retrouver un équilibre digestif durable.
Pourquoi j’intègre systématiquement une cure de sève de bouleau lacto-fermentée après un jeûne hydrique ?
Le jeûne met le système digestif au repos. La remontée le réactive doucement. Une semaine après la fin de la remontée alimentaire, la cure de sève de bouleau lacto-fermentée permet de rééquilibrer ma flore intestinale. Riche en probiotiques naturels, en minéraux et en oligo-éléments, elle aide mes intestins à se repeupler de bonnes bactéries, à relancer la digestion et à soutenir mon système immunitaire.
Commencer en douceur
Après un jeûne, je ne me lance pas directement avec de grands verres de sève. Je préfère attaquer en douceur, avec un demi-verre par jour les premiers jours. Cela permet à mon système digestif de s’habituer progressivement, sans le brusquer. Ensuite, j’augmente jusqu’à un verre entier, ce qui rend la cure plus efficace et confortable.
Probiotisève Nature ou Probiotisève Gingembre : lequel choisir ?
Dans les deux cas, la sève lacto-fermentée agit comme un élixir vivant qui complète parfaitement le travail du jeûne.
- Quand je cherche avant tout à restructurer mon microbiote intestinal, je choisis la Probiotisève Nature.
- Si j’ai besoin d’apaiser ma digestion (ce qui arrive souvent après la reprise), je me tourne vers la Probiotisève Gingembre.
Produits
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Sève de bouleau fermentée - Gingembre et citron - Probiotisève Tonic/Digeste
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Sève de bouleau fermentée - 100% sève de bouleau - Probiotisève Nature
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Après cette cure, je sens une nette différence : moins de ballonnements, une digestion plus fluide, et surtout une énergie stable. C’est comme si mon organisme retrouvait son rythme naturel. Pour moi, cette étape finale est indispensable. Elle m’évite de retomber trop vite dans les excès et m’aide à ancrer les bénéfices du jeûne dans la durée.
Contre-indications et précautions
Je le répète souvent autour de moi : le jeûne hydrique n’est pas adapté à tout le monde. C’est une pratique exigeante, qui doit être envisagée avec prudence et dans certains cas avec un accompagnement médical.
Quand le jeûne hydrique est-il déconseillé ?
Certaines situations demandent clairement d’éviter ce type de pratique :
- les femmes enceintes ou allaitantes,
- les personnes âgées fragiles ou affaiblies,
- les personnes atteintes de diabète, d’insuffisance rénale ou de troubles alimentaires,
- toute personne qui suit un traitement médical lourd.
D’ailleurs, avant de commencer, il est toujours préférable de demander l’avis d’un médecin ou d’un naturopathe expérimenté.
Les possibles effets secondaires du jeûne hydrique et de la sève de bouleau
Même en étant en bonne santé, le jeûne peut provoquer :
- des maux de tête les premiers jours (souvent liés au sevrage du café ou des sucres),
- une sensation de fatigue ou de froid,
- parfois des troubles digestifs mineurs lors de la remontée alimentaire si elle est mal effectuée.
Côté sève de bouleau, elle est généralement bien tolérée, mais certaines personnes peuvent observer :
- de légers effets diurétiques (puisqu’elle stimule les reins),
- une réaction passagère de type ballonnements ou transit accéléré (signe que la flore intestinale se rééquilibre),
- et, plus rarement, une sensibilité si la personne a déjà des soucis de reins ou de cœur.
Pour ma part, je n’ai jamais eu d’effets gênants avec la Probiotisève, bien au contraire. Mais je sais que chaque organisme est différent. C’est pour cela que je conseille toujours d’écouter ses signaux corporels, d’avancer par étapes, et de ne jamais forcer les choses.
Le jeûne est un outil formidable, mais il doit rester une démarche consciente et adaptée. Mieux vaut faire une courte pause bien préparée qu’un long jeûne mal vécu.
💡 Le saviez-vous ? La Clinique des Champs Elysées propose un article très intéressant intitulé “Jeûne hydrique : efficace ou dangereux ?”. Il permet de mieux comprendre les avantages potentiels, mais aussi les limites et les risques du jeûne, en se basant sur des données récentes. C’est une lecture que je recommande vivement pour mieux vous préparer.
En bref : préparer, jeûner, remonter… et revitaliser
Chaque année, ce jeûne hydrique est pour moi bien plus qu’une simple pause alimentaire. C’est un rituel qui me permet de purifier mon organisme, de retrouver une vraie vitalité et d’offrir à mon esprit un moment de calme intérieur.
En suivant les étapes clés : la descente alimentaire, le jeûne, la remontée progressive, j’accompagne mon corps avec respect. Et c’est la sève de bouleau lacto-fermentée qui vient compléter ce cycle : elle m’aide à rééquilibrer ma flore intestinale, à améliorer ma digestion et à prolonger les bienfaits dans la durée.
Je crois que le succès d’un jeûne ne dépend pas seulement de la période où l’on ne mange pas. Il repose sur l’ensemble du processus : la préparation – le jeûne – la remontée alimentaire – la revitalisation digestive. C’est grâce à ce cheminement que je me sens chaque année plus léger, plus clair dans mes pensées et plus connecté à mon corps.
Si vous aussi, vous envisagez un jeûne, prenez le temps de bien vous préparer, d’écouter votre organisme et d’accompagner votre corps jusqu’au bout. La sève de bouleau, et particulièrement la Probiotisève, peut devenir une précieuse alliée pour transformer cette expérience en une véritable cure de renouveau intérieur.
D’ailleurs, je parle de ce jeûne dans ma newsletter.
FAQ sur le jeûne hydrique et la sève de bouleau
Vous vous posez peut-être encore des questions après avoir découvert mon expérience. C’est normal : le jeûne hydrique et la sève de bouleau suscitent beaucoup d’interrogations. Voici quelques réponses aux questions qui reviennent le plus souvent, pour vous aider à mieux comprendre cette pratique et à voir si elle peut vous correspondre.
Peut-on jeûner sans descente alimentaire préalable ?
En théorie oui, mais je ne le recommande pas. Sans descente alimentaire, le corps subit un choc brutal : maux de tête, nausées, grosse fatigue. En réduisant progressivement les sucres, le café, l’alcool et les protéines animales, la transition est plus douce et le système digestif est déjà préparé à la détoxification.
Quels sont les bienfaits du jeûne hydrique ?
Le jeûne hydrique favorise l’autophagie (le processus de nettoyage cellulaire), stimule l’élimination des toxines, aide à améliorer la digestion et peut redonner de la clarté mentale. Beaucoup observent aussi une sensation de légèreté et un regain de vitalité.
Quels sont les risques du jeûne hydrique ?
Mal effectué, il peut entraîner des carences temporaires, de la fatigue, voire des troubles digestifs lors de la reprise. Il est déconseillé aux femmes enceintes, aux personnes fragiles ou souffrant de diabète ou encore de pathologies rénales. Dans tous les cas, demander un avis médical reste la meilleure précaution.
Qu’est-ce que la remontée alimentaire après un jeûne ?
La remontée alimentaire est la phase où l’on réintroduit les aliments petit à petit après le jeûne. Elle commence avec des fruits frais et des légumes cuits, puis évolue vers des céréales complètes et des protéines légères. Si elle est trop rapide, elle peut causer des troubles digestifs et annuler les bénéfices du jeûne.
Pourquoi utiliser la sève de bouleau après un jeûne ?
Parce qu’après le jeûne, il ne suffit pas de manger à nouveau : il faut aussi rééquilibrer la flore intestinale. La sève de bouleau lacto-fermentée apporte des probiotiques naturels, des minéraux et des antioxydants qui soutiennent la digestion et renforcent le système immunitaire. C’est l’étape qui prolonge réellement les effets positifs du jeûne.
Quelle cure de sève de bouleau choisir après un jeûne ?
Vous avez le choix entre :
- La Probiotisève Nature, idéale pour restructurer le microbiote intestinal.
- La Probiotisève Gingembre, parfaite pour apaiser la digestion après la remontée alimentaire.
Personnellement, j’alterne selon mes besoins, mais dans les deux cas, c’est une façon naturelle et efficace de finaliser la cure.